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Nos Artistes

Découvrez la bio de nos artistes exposés

Brahim Bouhamadi

Né à Tafraout en 1964, Brahim Bouhmadi est un des figuratifs marocains les plus méticuleux. Son choix du détail et de la touche se ressource dans l’école académique comme dans la poétique impressionniste. Grand voyageur, il a su immortaliser des scènes de genre et des portraits d’ici et d’ailleurs.

L’univers de ce talentueux aquarelliste est peuplé de détails, de teintes et de nuances chromatiques dont l’extrême exactitude ne tolère aucun geste incontrôlé. A travers un discours esthétique, Brahim Bouhamadi dompte les ombres et la lumière, appose des accents et varie les tonalités aux rythmes d’une mélopée sur un air de classicisme imbibé d’orientalisme.

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Oeuvre de l'artiste*

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Abdelkader Rhorbal

Natif de Fès, Abdelkader Rhorbal développe très jeune un grand talent où cohabitent maîtrise technique et originalité thématique. Sa peinture dénote d’une vision onirique du monde, donnant à voir des paysages auréolés de poésie surréaliste, mais toujours inspirés de la réalité marocaine.
Un surréalisme propre à Rhorbal. Car imprégné tantôt de son romantisme, tantôt de son empreinte soufie. Cette dernière est omniprésente dans ses créations, allant même jusqu’à la traduction de certains versets coraniques en compositions plastiques.
Le fantastique, le symbolique, le merveilleux et le mythique sont autant d’éléments que nous livre Rhorbal dans une belle harmonie d’œuvres qui laissent errer le regard dans un monde à part.

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Larbi Mahsar

"Pour que je puisse peindre il faut que je m'enferme, que je me replie sur moi-même et que je me retrouve tout seul avec moi...". Larbi Mahsar, est vraiment atypique.

Tout en lui reflète cette solitude qu'il revendique, dont il se sert mais qui, de temps à autre, l'engloutit et l'emporte loin de l'agora.

Discrète, parfois difficile, mais toujours sincère et vraie, sa vie est aussi l'exemple d'une formidable volonté.

Larbi Mahsar est originaire du village d'Ait Ikou, dans la région de Khémisset.

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Oeuvre de l'artiste*

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Hélène Carrasco-Nabih

Artiste Peintre, Hélène Carrasco-Nabih dessine et peint depuis toujours. Vers dix ans, elle a eu la chance de s'initier à la peinture avec l'artiste-peintre Jean-Pierre Blanchard. Avec lui elle a exploré les bases académiques, mais aussi le paradoxe de l'artiste et la place qui lui échoit dans la société. Un parcours d'études classiques soldé par deux Mastères lui a ensuite garanti une fiche de paie. La littérature comparée et les études de traduction lui ont appris tout ce que la traduction comporte de réécriture, retranscription, recréation. Ainsi, ses études littéraires et artistiques se sont complétées pour former un parcours croisé. En France, elle a suivi des cours de peinture et de gravure aux Beaux-Arts. Une fois établie au Maroc, elle a fréquenté les ateliers de Saïd Qodaïd, Lyuba Pope, Thierry Larivière, Abdessamad Karmadi et Olga Kourzina. Leurs personnalités ont façonné sa façon de peindre et de dépeindre le monde.

Samir Bidar

Artiste plasticien Marocain, né en 1987 au sud du Maroc, diplômé de l'Institut National des Beaux-arts de Tétouan.
Ses sujets de prédilection sont le temps et le mouvement, dont il exprime son ressenti et ses impressions dans me magnifiques peintures contemporaines polychromatiques.

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Oeuvre de l'artiste*

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Oeuvre de l'artiste*

André Lauran

Attiré très tôt par la peinture, André Lauran (né Laurent) étudie à l'école de l'art de Valence, puis aux Beaux-Arts de Lyon; il expose dès 1941 avec Pierre Palue et Jean Vinay au musée de Valence1.
En 1948, lors d'une exposition à Lyon au Salon des Surindépendants, où il expose pour la première fois avec André Cottavoz, Jean Fusaro, Jacques Truphémus, Pierre Palue, Pierre Coquet et Paul-Philibert Charrin, est créé le sanzisme, mouvement artistique lyonnais dont il devient membre2.
Ses tableaux sont exposés dans différents lieux, publics (Ville de Paris, musées de Valence, d’Annecy et de Tain-l'Hermitage, Conseil général de la Drôme) ou privés.

Il fait changer sa signature en "Lauran" en 1964 « afin d'éviter les confusions possibles avec ses homonymes artistes peintres ».
Il s’installe en 1964 à Lagny-sur-Marne, où il décède en 2009.

Hamid Benjilany

Né à Salé en octobre 1944, Hamid Benjilany est l’un des premiers plasticiens du Maroc indépendant. Tour à tour artiste-peintre, décorateur et sculpteur, il se consacra à deux passions, la peinture et la sculpture, en créant en 1990 une galerie d’art nommée « le petit musée » au centre des potiers de l’Oulja à Salé.

Une salle d’exposition dédiée au peintre marocain, feu Hamid Benjilany, a été inaugurée dans l’enceinte de la Maison de l’Artisan de Rabat. Plusieurs oeuvres de l’artiste, composés notamment de toiles, d’objets de sculpture en céramique, des formes de terre cuite et des oeuvres de poterie y sont exposées.

Il décéda le 3 juin 2004″, lit-on sur la plaque commémorative érigée à l’occasion de l’inauguration de la salle Hamid Benjilany.

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Oeuvre de l'artiste*

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Oeuvre de l'artiste*

Abdellah Amayoud

Peintre orientaliste marocain,très présent sur la scène marocaine, Il se spécialise beaucoup dans les peintures de fantasias, dont il maitrise à la perfection la profondeur et le jeu de couleur.

Il a plusieurs expositions à son actif dont:

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  • 1995 : Exposition collective avec des artistes allemands et français en Allemagne

  • 1998 : Exposition au Riwak des Oudayas Rabat

  • 1997 : Exposition au Carrefour des Arts Casablanca

  • 2000 : Exposition Galerie Samarcande

  • 2002 : Exposition au théâtre Mohamed V Rabat

  • 2003 : Exposition Association du Festival International de Rabat

  • 2006 : Exposition Galerie City Center Rabat

  • 2011 : Exposition D’ART LOUANES – Rabat

Khadija El Fahli

Khadija El Fahli vit et travaille à Rabat. Universitaire et enseignante, autodidacte. khadija a son propre style. Pour l’artiste, « l’enfant en toi , te porte » . Ses œuvres racontent des histoires, c’est une fenêtre sur le passé ( et notamment l’ambiance de son enfance ), sur l’environnement, sur le monde, riches en symboles puisés dans la culture marocaine avec ses multiples composantes.
Elle a participé à plusieurs expositions au Maroc , Tunisie , France ( Caroussel du Louvre , Monaco , Cannes) , Espagne. Ses œuvres sont acquises dans plusieurs pays à travers le monde.

Ce qui saute aux yeux à première vue et étonne à la fois dans le travail pictural de Khadija el Fahli, c’est le type de composition auquel elle procède, qui pourrait faire parler à ce propos de style de peinture propre : des séries de petites cases colorées se superposant et meublant l’ensemble de la toile, tableaux miniaturisés délicatement peints et communiquant entre eux par de secrètes harmonies lumineuses et tonales.

Le tout s’inscrit dans une scénographie particulière sur le mode naïf : aucune place n’est laissée au vide sans que ce soit du remplissage ; il s’agit bel et bien d’une peinture de l’oralité dont le discours narratif est interminable. 

Khadija Fahli
Taoufik Khalid

Taoufik Khalid

Artiste plasticien et pédagogue  au sens plein du terme, Khalid Taoufik a pu façonner un langage iconographique  qui oscille entre  la plasticité de la calligraphie arabe et  celle de la picturalité  pour aboutir à une écriture  contemporaine  singulière qui dépasse les frontières de toute  intention scripturaire. L’œuvre  se veut  une  contemplation  à la fois du vide et du plein.

Géographie pictographique autrement, son univers expressionniste  se veut un champ d’investigation  qui réinterprète, avec alchimie et doigté, la trace étincelant des traits, les  hachures, les motifs  lettraux,  et les graffitis. Le rendu iconique  se présente comme  une expérience éminemment  spirituelle.

Il est à rappeler  que Khalid Taoufik  est un calligraphe  chevronné, il a dans son actifs  plusieurs formations approfondies en  arts graphiques   à l'Institut des Beaux Arts de Tétouan et le CRMEF de Tanger, ainsi que des stages sur la gravure, la sérigraphie et l'informatique. Il est également  professeur des arts appliqués à Taroudant .

Mohamed Fathallah Achour

Né en 1955 à Rabat, Mohamed Fathallah Achour, a quitté tôt l’école pour intégrer l’Office national des chemins de fer (ONCF) en 1978. Il y passe 21 ans, en tant que contrôleur des billets. Une fonction qui lui permet de voyager et de découvrir la richesse des couleurs du Maroc. Après, il intègre l’imprimerie de l’ONCF, où il dit avoir eu la chance de ne pas s’éloigner des couleurs. En 1998, cet artiste-peintre décide de prendre une retraite anticipée pour se consacrer entièrement à son art. Et c’est justement à partir de cette date que sa carrière prend son envol. «Cette année-là, j’ai exposé au Centre culturel français à Rabat après j’ai pris la direction de Marseille où j’ai intégré l’association française d’artistes-peintres « Arc en ciel » où j’ai étudié les arts plastiques», explique-t-il. Il expose par la suite dans plusieurs villes françaises : Ciota, Miramas où il reçoit plusieurs diplômes d’honneur.

Ses sujets sont souvent liés au patrimoine national tels que les instruments de Gnawa ou la ghayta, une forme de trompette utilisée seulement dans la musique populaire marocaine. Ses dessins sont également dominés par des fruits (orange, poire, raisin, etc.) du Maroc.

L’artiste-peintre est inscrit au livre Guiness des records pour avoir achever la plus grande toile d’art naïf dans le monde.

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mohamad fathallah achour
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